Il y a quelques jours je me suis rendu dans le sud de la France et plus précisément dans le Luberon afin d’essayer la nouveauté de la gamme électrique de Volkswagen : l’ID7. Ce 5ème modèle ID (6ème si on […]
Il y a quelques jours je me suis rendu dans le sud de la France et plus précisément dans le Luberon afin d’essayer la nouveauté de la gamme électrique de Volkswagen : l’ID7. Ce 5ème modèle ID (6ème si on […]
Audi Sport, anciennement quattro GmbH, fête son 40ème anniversaire en 2023. Une occasion de revenir sur une histoire riche en succès, tant sur les circuits, les spéciales de rallyes que sur les routes du monde entier. Une histoire de performance […]
Lorsque l’on vous dit Smart, vous pensez tout de suite à une petite voiture. Et cela est dû à la réputation que s’est créée le constructeur allemand avec sa Fortwo qui a envahi nos grandes villes depuis un peu plus […]
Cette semaine, je suis allé découvrir la nouvelle Citroën ë-C3 lors de sa présentation. J’ai pas mal de choses à vous dire à son sujet alors on est parti pour 10 points sur la voiture électrique la (presque) moins chère […]
Il y a certaines voitures sur lesquels il est difficile de laisser un avis lors d’une rapide prise en main pendant des journées presse. Prenez une routière, bien entendu, en 200 km (kilométrage souvent réalisé lors d’essais standards) on arrive […]
Les vacances d’été viennent de se terminer et celles d’hiver se profilent déjà. Comme moi, vous souhaitez partir en road trip en famille (ou entre amis) ou vous avez un enfant en bas âge avec tout le matériel bébé à […]
Revenir aux fondamentaux de la marque, simplifier la gamme , améliorer la présentation intérieure... Faire de cette ID.3 une vraie Volkswagen... L'essai de cette nouvelle Volkswagen ID.3 pourrait s'arrêter là car tout est résumé dans cette introduction ! Je vous rassure, je vais développer tout ça en vous emmenant dans ma région de coeur : la Bretagne, plus particulièrement entre Rennes et Cancale, pour découvrir la version restylée de celle qui devait être le Best Seller de Volkswagen en véhicule électrique, l'ID.3. C'est vrai, l'ID.3 n'a pas eu un début de carrière facile : problèmes de software et de fiabilité, qualité des matériaux décevante... L'accueil du "client Volkswagen" a été plutôt glacial ! Lors de son lancement en 2020, j'avais essayé la V1 de l'ID.3 et je l'avais apprécié MAIS, en effet, on n'avait pas vraiment l'impression d'être dans une Volkswagen, du moins autant le dire tout de suite, on était loin de la référence Golf ! Un virage stratégique Résultat : le succès commercial de cette ID.3 fut mitigé. Pourtant ce modèle représente une importance stratégique pour le groupe VW qui vise dès 2030, 80% de ses ventes en 100% électrique. Avec le lancement de sa Gigafactory, destinée à produire ses modèles électriques, c'est pas moins de 10 nouveaux modèles électriques qui vont être présentés d'ici 2026 ! Avec cette ID.3 restylée, Volkswagen a écouté les retours de ses clients. Après 3 ans de vie, Volkswagen a décidé de revoir sa copie pour plus "coller" aux standards de la marque. Déjà VW a voulu simplifier sa gamme et rendre cette ID.3 plus accessible en terme de tarifs et de positionnement. Le prix d'accès à cette ID.3 a même baissé de plus de 3000 euros ! Produite en Allemagne, Volkswagen a également tout mis en oeuvre pour retrouver des délais de livraison "acceptables". Rigueur et sérieux à l'extérieur On oublie le fun et le trop avant-gardiste et on revient à du classique, du sérieux, du Volkswagen : nouveau pare-chocs plus dynamiques , disparition du côté "souriant" de la face avant (dommage), disparition du grand bandeau noir au bas du pare-brise , disparition des stickers "graphiques" sur le montant arrière, apparition de chromes, nouveaux feux arrières leds, nouvelles jantes et nouvelles couleurs de carrosserie plus sobres. Le toit noir reste présent de série (ouf !).
En 2020, Peugeot coiffait sa gamme avec une sportive de 360 chevaux, capable de rivaliser avec certaines productions des premium germaniques (on pensera aux C43 AMG ou aux M340i) : la 508 PSE. Je n’avais malheureusement pas eu l’occasion d’en prendre le volant. C’est pour cela qu’en recevant l’invitation pour essayer la phase 2, j’ai sauté sur l’occasion sans la moindre hésitation. C’est ainsi que je me retrouve à Malaga pour essayer... le nouveau Peugeot e-2008 ! Nouvelle Peugeot e-2008 Et oui, avant de prendre le volant de la PSE, prenons le temps de faire quelques tours de roues à bord de cet e-2008 restylé. Evacuons tout de suite la question du style, cette phase 2 n’évolue qu’à la marge par rapport à la version précédente. A l’extérieur, on change la signature lumineuse, et à l’intérieur pas grand chose. A vrai dire, bien que j’aurais aimé un peu plus de prise de risque de la part du constructeur s0chalien, le 2008 reste néanmoins tout à fait désirable et actuel.
C'est au salon de Paris que j'ai pu découvrir pour la première fois un petit SUV à la marque légendaire, au look ravageur, aux couleurs flashy et surtout 100% électrique. Pour moi ça a été un coup de coeur immédiat et vu l'engouement sur le stand Jeep (et oui c'est une Jeep) lors de sa présentation, j'avais vraiment hâte d'en prendre le volant. Direction la belle région de Champagne pour essayer LA voiture de l'année 2023 : le Jeep Avenger ! Un nom de légende pour une liberté électrique Les 4 valeurs de Jeep : liberté, aventure, authenticité et passion. La liberté électrique c'est ce que nous propose Jeep avec son SUV Avenger. Avoir une Jeep c'est avant tout conduire une histoire, une légende, celle bien-sûr des célèbres Jeep Willys, venues nous libérer aux mains des soldats américains pendant la 2ème guerre mondiale. Jeep c'est une marque emblématiques dans le monde entier avec une importante communauté, qui représente les USA et les grands espaces. Question design, on retrouve sur l'Avenger tous les signes distinctifs d'une Jeep : les 7 fentes sur la calandre (comme une Willys), les passages de roues trapézoïdaux, les phares encastrés... Mai aussi de nombreux clins d'oeil comme la coccinelle sur le toit, la calandre Willys sur le pare-chocs ou des sérigraphies Jeep sur le pare-brise. Polyvalent Ce nouvel Avenger se veut polyvalent et cible une clientèle jeune, urbaine, connectée et féminine : en gros la clientèle Mini ! Et pour cause, il est vraiment attirant avec ses ailes gonflées, son regard expressif et son allure robuste.
Voilà ce qu’il se passe quand on accepte un essai sans lire les petites lignes. Pensez bien, aller essayer une Mercedes-AMG en Haute-Savoie, ça ne se refuse pas. Me voici donc parti dans mon beau TGV, direction la gare de Bellegarde où mon bolide m’attendra. Rien que d’y penser, je me frotte déjà les mains : le bruit du V8, les pétarades au rétrogradage, les pneus qui fument et l’air qui s’engouffre dans ma chevelure flamboyante. Je descends donc du TGV et m’apprête à monter dans la navette qui me conduira à ma voiture de sport... et là, première surprise : on me confie les clefs de la dite navette. Alors je signale gentiment que non, je ne suis pas le chauffeur de la navette, mais que je suis là pour essayer une AMG. Et d’un coup, je comprends... je n’essaierais pas un SL aujourd’hui, mais bel et bien la version SUV de l’EQE. Et qui dit EQE dit que toute AMG qu’elle soit, je n’aurai ni V8, ni même 4 cylindres, mais un couple de moteurs électriques. Le gros SUV aussi agile qu’une citadine Après avoir passé quelques minutes à m’appesantir que « tout fout le camps », que « c’était mieux avant » et que « un SUV électrique AMG, c’est n’importe quoi », je me décide quand même à faire mon essai ^^ Faisons le tour de cet EQE SUV : les lignes font immanquablement penser aux autres SUV de la marque à l’étoile, à vrai dire, on pourrait même penser avoir devant nous une « simple » déclinaison électrifiée du GLC mais non, l’EQE n’a aucun lien de parenté avec le GLC... ni avec aucun autre modèle thermique de la marque, puisqu’il repose sur la plateforme EVA2, commune aux différentes déclinaisons des EQE et EQS. Ainsi, en termes de dimensions extérieures, on se situe pile poil à mi chemin entre un GLC et un GLE. Et, autant le dire tout de suite, au volant, on a plus l’impression de rouler dans un véhicule au gabarit d’un GLC.
L’appel de la liberté, des voyages par la route et par les chemins, c’est cette recherche de la polyvalence qui ramène les trails sur le devant de la scène. L’aventure à bord de la Ducati Désert X hors des sentiers battus, Ducati nous a déjà prouvés que c’était possible, c’est même sa vocation première ! L'ADN de la compétition Pour rappel la Désert X a été conçue en collaboration avec Antoine Méo, 5 fois champion du monde d’enduro et double finisher au Dakar (2016 et 2018). Ce dernier a même emmené la Ducati sur le podium de l’Erzbergrodeo dans la catégorie bicylindre du Prolog Iron Road. Il s’agit d’une des plus célèbres courses d’enduro au monde et sur le tracé de 13,5 km avec plus de 600 m de dénivelé positif, l’italienne conduite par le pilote français a écrasé la concurrence. L’ADN du Dakar se retrouve jusque dans le design de Jeremy Faraud, encore un français « cocorico », qui a dessiné le concept Désert X présenté à l’EICMA en 2019. Elle débarque en concession en 2022, prête à changer la donne avec son look inspiré des Cagiva Elefant des années 90 et qui ont remporté deux Paris – Dakar. De ce fait, il est légitime de se demander si la première Ducati moderne équipée d’une roue de 21 pouces à l’avant et de 18 pouces à l’arrière, est apte à voyager ? Une ergonomie bien pensée Au premier coup d’œil le trail italien impressionne, une hauteur de selle de 875 mm, son réservoir en aluminium de 21 litres et ses deux projecteurs avec des feux de jour à 4 segments. Quelle surprise de toucher les deux pieds au sol, ce n’est pas le cas sur certains trails quand on mesure 1m76. La selle en deux parties devient assez fine au niveau du réservoir pour permettre cet exploit...
Sortie en 2018, je n'avais pas eu l'occasion de prendre le volant de l'Audi e-tron première génération, et pourtant Audi a été le premier constructeur à venir chasser sur le terrain du SUV premium 100% électrique. Si en 2018, l'e-tron n'avait pas énormément de concurrence, 5 ans plus tard, le tableau est tout autre. Audi se devait de revoir sa copie pour remettre à niveau son e-tron, qui au passage, gagne le nom de Q8 pour rendre beaucoup plus claire et simple la gamme Audi (mais le Q8 thermique est toujours présent dans la gamme...). Qu'on se le dise, désormais chez Audi chiffres pairs riment avec 100% électriques, et impairs avec thermiques et hybrides ! Le premier e-tron, même s'il souffrait d'une autonomie très moyenne, s'est quand même écoulé à 175 000 exemplaires dans le monde. Alors un Q8 e-tron c'est gros : avec 4m91 de long, 1m93 de large et 1m63 de haut, il est clairement dans le segment des gros SUV. Il est disponible en 2 carrosseries : SUV "classique" et Sportback avec sa ligne de coupé. Il retrouve sur sa route les Tesla Model X, BMW iX, Mercedes EQE, bref du lourd aussi bien niveau poids que prestations. Si le changement de nom est une nouveauté, qu'en est-il de l'esthétique ? Il faudra un oeil expert pour voir les changements : un nouveau logo modernisé, des pare-chocs redessinés, une calandre rétro-eclairée, un fond plat optimisé, de nouveaux pictogrammes Q8 e-tron et de nouvelles jantes... voilà à peu près tout ce qui change à l'extérieur et c'est un peu décevant. Ces quelques changements permettent de gagner quelques centièmes de scores en aérodynamique en faveur bien entendu de l'autonomie, avec un gain estimé à 7 km.
C'est avec grand plaisir que je commence à écrire ce premier article pour Kambouis.com, d'autant plus qu'il s'agit du premier Lexus UX essayé sur le blog. Et c'est au pays du Loch Ness et plus précisément à Edimbourg que je me suis rendu pour essayer la nouvelle génération du SUV compact 100% électrique du constructeur nippon. L'essai a débuté sous ce beau soleil écossais, oui oui vous avez bien lu soleil. Ce dernier tapait contre la façade en pierre du Château de Carlowrie situé non loin de la capitale. C'est ici que nous avons découvert le nouveau Lexus UX 300e pour la première fois dans sa nouvelle teinte grise, lui allant d'ailleurs particulièrement bien, nommée "Gris Iridium''. Des lignes taillées Cet UX 300e reprend le restylage apparu en début d'année sur l'UX 250h, sa version hybride. Les changements extérieurs sont donc très discrets, seuls les élargisseurs d'ailes passent en couleur carrosserie sur la finition Executive, en plus de la finition F Sport sur laquelle cela était déjà le cas. Cependant, son design reste identique. Cela plaira à certains et déplaira à d'autres car il est vrai que son dessin très taillé ne fait pas l’unanimité. J'ai envie de dire tant mieux, Lexus réalise des designs osés qui tranchent avec les lignes plus consensuelles de la concurrence. L'avantage étant que, malgré ses années, l'UX n'a pas pris une ride...
Il y a quelques semaines, Stéphane vous emmenait à Annecy pour essayer le nouveau BMW X1. Aujourd’hui, je vous emmène à Blois pour essayer son "pendant électrique" nommé, sans grande surprise, BMW iX1. Parlons conso... Départ de région parisienne, le thermomètre avoisine les 0°C et l’ordinateur de bord nous annonce une autonomie de 360 Km. On rejoint Blois par les départementales et autant le dire tout de suite, la consommation finale de l’essai (22,2 kWh/100 Km) m’aura quelque peu déçu. Comprenez qu’il y a un an, la i4 eDrive 40 m’avait gratifié, avec des températures à peine supérieure, d’un splendide 16,4 kWh/100 Km. Bref, sans surprise, l’aérodynamisme du SUV ne lui permet pas d’être aussi efficient que la berline. Pour compléter le volet des consommations, noter les chiffres normalisés homologués par BMW : entre 17,3 et 18,4 kWh/100 km, pour une autonomie comprise entre 413 et 438 km (batterie de 64,7 kWh utiles). Ces chiffres positionnent ce iX1 dans le sillage d’un Tesla Model Y (450 Km) et de la Mercedes EQA250 (426 Km)... a ceci près que ces deux concurrents proposent aussi des versions avec des batteries majorées qui permettent de passer la barre symbolique des 500 Km d’autonomie. Côté BMW, pour le moment une seule motorisation et une seule batterie sont disponibles...
Retour sur l'évènement Audi auquel j'ai assisté il y a quelques semaines. Après l'essai de l'Audi e-tron GT et un retour sur l'histoire de la marque Audi, direction le magnifique Circuit Paul Ricard pour découvrir, au travers de plusieurs ateliers, les différentes innovations et technologies de la marque aux anneaux. Audi Space Frame, 30 ans déjà… « Le bon matériaux, à la bonne place et en bonne quantité » c’est la base de cette technologie basée sur la réduction du poids afin d’améliorer la tenue de route, de développer des structures qui préservent l’humain en cas de choc, de réduire la consommation d’énergie et l’impact environnemental. Le principe, réduire l’utilisation de l’acier ( lourd et très sensible à la rouille ) par l’aluminium qui lui est 70 fois plus léger, quasiment insensible à la corrosion et 100% recyclable. Utilisé seul, l’aluminium est trop souple, casse et n’a pas de rigidité, les ingénieurs de chez Audi ont donc travaillé sur un alliage qui soit un juste équilibre entre aluminium, magnésium et silicium afin d’obtenir le meilleur rapport entre rigidité torsionnelle et poids. L’association de ces matériaux permet donc d’obtenir plus de rigidité, un meilleur comportement avec une meilleure tenue de route, plus de sécurité et une construction allégée avec une baisse de poids de l’ordre de 40 à 45% par rapport à l’utilisation de l’acier seul, une consommation d’énergie moindre et moins d’impact sur l’environnement. Elle permet aussi un assemblage différent de la structure avec moins de matière utilisée et donc un gain en terme d’habitabilité, à dimension équivalente, le volume de l’habitacle sera donc plus important que sur une structure entièrement en acier. Un poids réduit, une rigidité améliorée, un centre de gravité très bas, la garantie d’un comportement dynamique et sportif cher à la marque...
Non, le centre de style de Hyundai n'est pas du tout situé dans mon Vaucluse natal, mais je trouvais ce titre bien approprié, vu le très fort Mistral qui a soufflé pendant ces essais et vue l'importance accordée à la finesse aérodynamique de cette nouvelle Hyundai Ioniq 6 ! On peut dire que ça va bien pour le groupe coréen Hyundai - Kia. Récemment passé 3ème groupe mondial, le groupe Hyundai est également devenu 4ème constructeur européen et 3ème constructeur importé en France derrière VW et Toyota !!! Directement issu du concept Prophecy (presque) présenté au salon (annulé) de Genève 2020, le Ioniq 6 rend hommage au mouvement Streamliner des années 30. Visant avant tout l’efficience aérodynamique, son design multiplie les appendices et respire le travail en soufflerie. La preuve par exemple avec les volets actifs à l’avant (pour une fois visibles), le soubassement parfaitement lisse, les appendices au niveau des passages de roue ou l’aileron arrière apparemment inspiré des célèbres avions de guerre Spitfire Anglais. Bref, toutes ces écopes, diffuseurs, becquets permettent d’afficher un Cx record de 0,21 ! Et on va le voir, cette finesse aéro joue un très grand rôle dans les chiffres d'autonomie et de consommation de cette Ioniq 6.
Les sièges auto pour bébés sont un élément essentiel de la sécurité en voiture pour les parents qui voyagent avec leurs enfants. Alors vous pensez bien que quand il s'agit de rouler avec ma petite Alma, je suis plus que concerné par le sujet. L'un des sièges les plus populaires sur le marché actuel est l'Axkid One 2, qui offre une protection avancée pour les bébés de toutes tailles. Justement Axkid m'a proposé de tester son siège. Je l'ai installé depuis 3 semaines maintenant et je peux vous en parler...
Des fois la vie fait penser à un compte de fées... à l’envers... Regardez Cendrillon, elle part en carrosse rejoindre un château, pour au final repartir en citrouille. Et bien, sans aller jusqu’à dire que la BMW iX1 est une citrouille (je vous en parlerai dans un prochain article), j’ai un peu eu l’impression de vivre l’aventure inverse, en arrivant à l’Hôtel Fleur de Loir de Blois au volant de l’iX1, et après un succulent dîner au restaurant Christophe Hay (2 étoiles au guide Michelin) et une bonne nuit de sommeil, en repartant au volant de la BMW i7. La i7, comme son nom le laisse imaginer, c’est la version électrifiée de la BMW série 7. Mais pour le coup, contrairement au iX1, cette fois Stéphane ne vous a pas déjà présenté la version thermique. C’est donc à moi que revient la lourde tâche de parler de la nouvelle Série 7... La Série 7, chez BMW, c’est une longue histoire 7 générations se sont succédées depuis 1977, faisant grandir la vaisseau amiral de la marque à l’hélice de 4,90 m de long sur la E23 à près de 5,40 m pour la G70 qui nous intéresse aujourd’hui. 50cm de plus en 45 ans... Enfin, pas tout à fait. En effet, derrière ces 50 cm se cache le fait que BMW a décidé, sur cette nouvelle génération, de ne plus proposer de version « normale » de son haut de gamme, mais uniquement la version longue (qui était la version majoritairement vendue sur les marchés les plus friands de Séries 7). Ainsi, autant les Série 7 courtes pouvaient parfois faire penser à des « Super Série 5 », autant avec cette nouvelle génération, BMW coupe clairement toute comparaison entre les deux modèles. Donc non, au premier coup d’œil, la Série 7 n’est plus une « Super routière », mais est désormais une « petite limousine » ! Pour preuve, 5,4m c’est la longueur de la première génération de Rolls-Royce Ghost (5,7m pour la version Extended de la seconde génération que j’ai testé il y a quelques mois)... et si je vous parle de Rolls-Royce, ce n’est pas un hasard. BMW joue sur les codes de sa marque de prestige avec sa nouvelle Série 7 : calandre imposante et verticale, peintures bi-ton, jantes allant jusqu’à 21 pouces...
Le Salon du 2 roues de Lyon, grand-messe des motards Français, vient de fermer ses portes. Une édition riche de 500 exposants, entre constructeurs et distributeurs de motos, d’accessoires et associations de collectionneurs. Pour fêter les 30 ans du salon, plusieurs animations étaient en place pour ravir tous les aficionados de moto. Le premier Motocross Indoor d’Europe avec 550 pilotes, plusieurs pistes d’essais (Roadshow, Trails indoor, trial et vintage), une vente aux enchères, le concours Top Clef et des expositions de motos d’exceptions... En effet cette édition fut marquée par plusieurs anniversaires : Les 100 ans de BMW Motorrad avec une exposition de modèles qui ont marqué le développement de la marque à l’hélice. Les 120 ans d’Harley Davidson célébrés par une exposition de quelques modèles historiques. Les 60 ans du mythique Honda Monkey grâce à une exposition de 60 mini-motos. Les 40 ans de Buell via un rassemblement de 40 rares spécimens de la marque. Les 30 ans de la Ducati 916 célébrés par le rassemblement de 30 motos d’exception...
C’était une première pour moi, wow et quelle première ! Je ne l’aurais jamais imaginée plus belle ! Allez, je vous raconte ^^ Stéphane, que vous connaissez puisque vous le lisez régulièrement ici, m’a fait l’honneur de le représenter pour le blog Kambouis lors de deux journées extraordinaires passées sur le mythique circuit Paul Ricard afin de célébrer les 90 ans de l’alliance Audi. 1946 ch En l’espace de deux jours, j’ai eu la chance de faire rouler sur circuit 1946 ch ( et oui ça fait beaucoup ! et non ce n’est pas la puissance de la dernière supercar de chez Audi…), j’ai lancé sur la piste une S8 à 180 km/h en conduite semi-autonome, j’ai testé les différentes architectures de quattro sur piste à faible adhérence, testé les technologies de la gamme Q en Offroad et enfin j’ai découvert la technologie Audi Space Frame avec notamment le concept Audi Avus quattro et sa carrosserie entièrement en aluminium et l’Audi A6 e-tron Concept avec ses technologies d’éclairage novatrices. Je vous ai dit « 90 ans » donc on va forcément parler un peu d’histoire … Le saviez-vous ? Le nom « Audi » est un jeu de mot entre « audi » qui veut dire « entend, écoute » en latin et le patronyme du fondateur de la marque August Horch, l’impératif « horchen » signifie « écouter » en allemand... malin ! L’histoire d’Audi est tellement riche en événements et innovations qu’il est difficile d’en retracer ici l’historique complet. Néanmoins, on peut tout de même retenir certaines grandes lignes qui font de la marque allemande une marque pionnière dans de nombreux univers et dont le slogan qui résonne depuis plus de 50 ans « Vorsprung durch Technik » comprenez « l’Avance par la Technologie » reflète l’identité même du constructeur. Juin 1909 : Déjà à l’origine du constructeur automobile allemand "Horch & Co", August Horch, dont la devise était de « ne construire que des voitures solides et de qualité », fut évincé par son directeur technique et par son directeur commercial de la société qu'il dirigeait et qui portait son nom. Juillet 1909 : August Horch fonde une nouvelle société automobile qu’il nommera d’abord « August Horch Automobile Werke » mais son nom étant déjà utilisé et protégé par une marque déposée, il devra la renommer, la société devient « Audi Automobilwerke GmbH» L’alliance Audi fête ses 90 ans…
Aujourd’hui, c’est un essai un peu particulier que je partage avec vous. En effet, lorsqu’on teste un SUV électrique, on fait habituellement tout un paragraphe sur l’autonomie et l’habitabilité... Et bien, pas cette fois ! Car, quand Ford vous invite à tester le Ford Mach-e sur un circuit de glace à Flaine, vous savez que vous aurez autre chose à faire que de regarder la taille du coffre. Pire, ce n’est pas en faisant patiner les pneus cloutés sur de la glace que je pourrais vous confirmer si les 550 Km d’autonomie WLTP (pour notre version 351 chevaux en transmission intégrale) sont réalistes ou non ! Alors que dire sur cette Mach-e ? Commençons par le design. Je pourrais vous dire qu’en posant le cheval emblématique sur un SUV, Ford a fait un pari osé. Et que ce n’est pas en y ajoutant des feux arrière grimant ceux de la Mustang que ça fera vraiment illusion. Donc non, niveau design, cela reste difficile de voir cette Mach-e et de l’associer à la famille Mustang. Pourtant, si les lignes générales ne sont pas des plus originales, à y regarder de plus près, le Mach-e se veut plus dynamique que ses concurrents. En effet, en passant sous la barre des 1m60 en hauteur, on se rapproche plus du break surélevé que du vrai SUV...
Pour une fois, je commence cet article par la fin : cet ID.Buzz de Volkswagen, je le kiffe tellement (même si tout n'est pas parfait) !!! Pendant cet essai j'ai tout adoré : la voiture, le soleil, Lisbonne, les spots de surf, le skatepark !!! Ok maintenant que c'est dit, on peut parler de ce nouveau Combi 3.0, j'ai nommé le Volkswagen ID. Buzz ! ID. Combi : so lovely ! En 1950, après les heures sombres de la 2ème guerre mondiale, Volkswagen réalise un coup de maitre en présentant son Combi. Largement basé sur l'architecture de la géniale Coccinelle, le Combi devient rapidement une légende de l'automobile, convertissant les premiers adeptes des voyages : surfeurs, hippies et autres aventuriers avides de découvertes et de longs Roadtrips. Un espace couchage, une petite cuisine, simple, fiable et pas cher, le Combi invente un concept plus que jamais dans l'air du temps : la Van Life ! La grande tendance depuis la renaissance de la Fiat 500, c'est le Néo Rétro. On ne va pas citer de noms, mais ça peut vite devenir n'importe quoi... et bien ce néo Combi est tout bonnement magnifique. C'est simple, même pendant mes essais en supercars, on ne m'a jamais autant arrêté, pris en photos, interpellé dans la rue... qu'au volant de cet ID. Buzz ! Ok, nous avions bien choisi notre version d'essai avec sa superbe couleur orange bi-ton (en option). 1m94 de haut, 4m71 de long, 1m99 de large : cet ID.Buzz garde un gabarit contenu lui permettant de se faufiler dans les étroites ruelles de Lisbonne. Grâce à son empâtement long, ses minuscules porte-à-faux et son architecture électrique, l'espace à bord est gigantesque avec pas moins de 1121 l de coffre et même 2123 l sièges abaissés. Les 2 portes arrière sont coulissantes ce qui en fait un véhicule parfait pour les familles et autres adeptes de sports de glisse ! Basé sur la désormais bien connue, plateforme MEB, cet ID.Buzz est (pour une fois) très fidèle au concept car présenté au Salon de Détroit 2017. Un mot sur le nom, pourquoi ID. Buzz ? Pourquoi ne pas l'avoir nommé ID. Combi ?? Il s'en inspire tellement avec ses nombreux clins d'œil à son glorieux ancêtre (les 3 barrettes sur le montant C, le gros logo VW etc...)...
Honda a présenté début octobre le rendu définitif de la nouvelle Hornet 750. Si vous ne connaissez pas la Hornet, il s’agit du célèbre roadster sportif de la firme nippone. Revenons sur son histoire avant de vous présenter la petite dernière. L'histoire de la Hornet Rapidement, Honda présente à l’aube du nouveau millénaire un nouveau type de roadster. Habituellement, ces motos dépourvues de carénages sont des utilitaires ou des motos d’écoles de conduite. Pour la première fois une marque présente un roadster «sportif» de moyenne cylindrée, un moteur 4 cylindres cumulant 600 cm3 pour être précis et délivrant 96 chevaux à 12.000 tr/min. Ce moteur est emprunté à la sportive moyenne cylindrée de la gamme, la 600 CBR. Il est assez creux à bas régime et offre tout son caractère entre 8 et 12.000 tr/min. Un châssis rigide en acier et un moteur qui prend des tours dans un roadster bien placé en tarif, il n’en faut pas plus pour en faire la nouvelle coqueluche des motards. Avec le temps, il subit quelques évolutions. En 2007, au revoir le phare rond et bonjour la modernité, avec une ligne un peu plus affutée et plus compacte dans un style très manga. Un nouveau bloc moteur, mais toujours la même recette, soit 4 cylindres et 600 cm3 qui délivre cette fois-ci 102 chevaux. Côté équipement, cette nouvelle Hornet n’est pas en reste, fourche inversée, ABS (en option), châssis et jantes en aluminium. Honda décide de faire de son roadster phare un vrai streetfighter ! Cette version demeurera jusqu’en 2011 où elle subira un lifting pour ressembler un peu plus au roadster sportif 1000 cc de la marque aux ailes, le CB1000R. Finalement en 2014 la Hornet cède sa place à la CB650F, un roadster bien plus sage et raisonnable.
Le dernier essai Peugeot sur Kambouis commençait à dater, c'était il me semble la 508 SW et sa ligne magnifique. J'ai découvert la nouvelle Peugeot 408 au dernier Mondial de l'Auto, et j'avoue que je suis resté interrogatif devant la nouvelle proposition de la marque au lion ! Quelques semaines plus tard, en arrivant dans la région de Barcelone pour essayer cette nouvelle Peugeot 408, je suis toujours dubitatif face à son design : trop torturée, porte-à-faux trop grands, ni SUV, ni berline, ni break, c'est un ORNI dans le paysage automobile (Objet Roulant....). Alors cette 408 c'est quoi ? Située entre la 308 et la 508, c'est une berline surélevée à hayon au design "dynamique". Les feux avant et la calandre sont clairement issus de la 308. Coté dimensions, avec 4.69 m de long, 1.85 de large et 1.48 de haut, on s'approche d'une 508 tout en étant assis bien plus haut (mais plus bas qu'un 3008). Alors c'est sûr, elle ne ressemble à rien de connu ! C'est à l'arrière que l'essentiel se passe avec une allure de coupé et une ligne de toit plongeante se terminant en "oreilles de chat". Comme sur la 308, les porte-à-faux sont très grands. Son arrière train, très haut perché, se termine par un surprenant et très massif pare-choc en plastique noir...
En général, passé la trentaine, les fêtes d’anniversaire ont tendance à s’espacer. Rapidement, au lieu de fêter son anniversaire tous les ans, on se retrouve à fêter les décennies... Chez AMG, on déroge à cette règle et on fête les 55 ans ! 55 ans, pourquoi ? Peut-être comme le blason qui a orné certains modèles emblématiques de l’ex-tunner indépendant, devenu préparateur officiel, devenu filiale sportive, devenu écurie de formule 1 ??? En fait, je ne sais ce que ce 55ème anniversaire a de particulier, mais c’est néanmoins l’occasion de regarder en arrière et de regarder l’évolution de cette marque. Retour en 1967, quand un ingénieur de Mercedes, Hans-Werner Aufrecht fonde la marque avec son associé Erhard Melcher. A peine 4 ans plus tard, leur premier modèle, une Mercedes 300 SEL avec un moteur « légèrement gonflé » se distingue en compétition. De là, la marque acquière rapidement ses lettres de noblesse au point que, dès 1973, ses préparations sont officiellement reconnues par Mercedes. En 1990, les choses s’accélèrent avec un accord commercial signé avec Mercedes : à partir de cette date, vous pouvez achetez votre AMG directement chez votre concessionnaire Mercedes. Forcément, la suite est peu surprenante, en 1999 la maison mère de Mercedes prend possession de 51% d’AMG, puis 100% en 2005...
Au moment de changer de voiture, certains modèles reviennent toujours dans ma "short list" ... C'est le cas du BMW X1 ! En 2009, il a inventé le segment du SUV compact premium avec succès, puisque plus de 2,7 millions d'exemplaires ont été vendus depuis la première génération. Oui ce X1 plait à tout le monde et pourtant je n'ai jamais réussi franchir le pas de l'achat (n'ayant jamais trouvé la bonne occasion...)... Spacieux, pratique, sportif, valorisant, il a tout pour plaire. Ce n'est pas pour rien qu'il est le SUV compact le plus vendu au monde ! Mais depuis 2009, le marché de l'automobile a considérablement changé. La marque de Munich a-elle su maintenir "la flamme" pour cette toute nouvelle version 2022, la 3ème génération du BMW X1 ? Direction la magnifique région d'Annecy pour trouver la réponse, sous une météo froide et pluvieuse (oui ça a bien existé cet automne !). Un enjeu majeur On l'a compris, pour BMW le lancement d'un nouveau X1 est un évènement important. De gros investissements ont été fait dans l'usine de Regensburg en Allemagne. Cette usine de 9000 employés est ultra moderne. Pour la première fois, BMW teste ses nouveaux process de fabrication dans cette IFactory grâce à la technologie du Metaverse (j'aimerais bien voir à quoi ça ressemble concrètement). Autre rareté, sur la même chaîne de fabrication sont assemblés les 4 technologies du X1 (basé sur la même plateforme que la Série 1) : électrique, hybride, essence et diesel ...
Il n’y a pas si longtemps, lorsque l’on abordait une Skoda, on ne pouvait s’empêcher d’ajouter « la marque low-cost du groupe Volkswagen ». Et encore aujourd’hui, un rapide micro-trottoir montre à quel point cette image est ancrée dans l’esprit des gens. Bien entendu, d’autres valeurs viennent en tête quand on parle de Skoda : la praticité, l’ouverture à tous les usages des familles etc… Mais en regardant cet Enyaq Coupé, on sent tout de suite que Skoda s’est aventurée sur un terrain où on ne l’attendait pas forcément. Car pour un SUV, l’Enyaq coupé cherche clairement à nous charmer, et ça fonctionne ! Ce profil de SUV coupé, pourtant assez contre-nature, est ici parfaitement équilibré et donne une petite touche (sans excès) de dynamisme à la ligne de l’Enyaq. Mais surtout, on a un peu moins l’impression d’avoir à faire à un break haut sur patte (par rapport à l’Enyaq classique). Coupé mais toujours pratique J’entends déjà les critiques fuser : « à quoi sert un SUV, véhicule fait pour avoir de l’espace, si on perd cette place en lui donnant une ligne de coupé ? » : c’est vrai et c’est une excellente question ! Skoda y répond habilement : l’Enyaq coupé ne rend que 15 litres de volume de coffre à l’Enyaq (570 L contre 585 L). Soit dans tous les cas plus que le coffre d’un Volkswagen ID4 ou d’un ID5.
Dans la vie "d'essayeur auto", certains essais sont plus attendus que d'autres. Et il ne s'agit pas forcément de supercars allemandes ou italiennes. Parfois, il peut juste s'agir d'une nouveauté électrique, qui plus est... chinoise ! Comme vous le savez, MG n'est plus une marque anglaise, elle a été rachetée par le groupe chinois SAIC Motor qui n'est pas moins que le 7ème groupe mondial et le 2ème constructeur mondial en matière de voiture électrique. Arrivée en France en 2020, MG est entrée sur le marché français avec certains des modèles hybrides et 100% électriques plutôt intéressants comme le Marvel et carrément très abordables comme la MG5 essayée avant l'été mais, ça restait malgré tout des niches sur le marché européen. Appliquée à développer leurs réseaux (très complets aujourd'hui) MG préparait en coulisses son arrivée sur LE coeur de cible du marché européen : les Compacts. Il leur fallait frapper un grand coup pour imposer leur marque comme une alternative très sérieuse aux constructeurs européens. Ce grand coup, j'ai pu l'essayer du côté de Saint Tropez. Son nom : MG4 et je vais vous expliquer pourquoi ce modèle va changer la donne ! L'importance d'une plateforme modulaire La MG4 est basée sur une toute nouvelle plateforme MSP entièrement dédiée aux modèles électriques et très polyvalente. Une plateforme particulièrement travaillée pour caser des batteries ultra fines dans son plancher (11 cm de haut grâce aux cellules placées à l'horizontal). Résultat : la possibilité d'avoir une voiture très basse, dans des mesures compactes et avec un empattement très long de 2m70 laissant augurer un grand espace de vie dans l'habitacle. Avec 4m29 de long, c'est une pure compacte. Mais une compacte large avec 1m84, ce qui donne une allure très "assise" sur la route, très sportive. Surtout avec ce capot ultra plongeant et les différents habillages "façon carbone" du plus bel effet comme la lame avant ou les bas de caisse. Un mot sur le dessin : si en photo je n'accrochais pas vraiment, une fois devant la voiture et dans la rue, le dessin est bien plus attractif et au final agréable à regarder. Ok, ce n'est pas un immense coup de coeur mais je peux dire que je la trouve harmonieusement dessinée. Sur la version Luxury de notre modèle d'essai, le double spoiler est du plus bel effet. C'est vraiment l'élément fort de son design et ça lui donne une vraie personnalité ! Attendez-vous à être surpris !
Les nouveautés électriques chez Volkswagen, c'est comme les feuilles mortes en automne, ça tombe de partout ^^ Juste avant l'été, nous avons pu prendre le volant de la nouvelle Volkswagen ID.5 GTX. J'avais beaucoup aimé l'ID.3 essayée pendant le confinement et, juste avant de partir au Portugal pour découvrir l'ID.Buzz, il était temps de revenir sur le SUV coupé électrique de Volkswagen. Car en effet, cette ID.5 est le deuxieme SUV coupé de la marque allemande après le Taigo (100% thermique) que j'avais découvert en début d'année. Look ID Basé sur la plateforme MEB, l'ID.5 reprend quasiment les proportions de l'ID.4 avec 4,60 m de longueur. Sur la face avant, on retrouve le design de la famille ID même si le bouclier est plus large, et plus agressif. Son toit noir (en série) abaisse visuellement la ligne pour affirmer son caractère dynamique de SUV coupé. Et bien entendu, c'est à l'arrière que tout se passe ! Avec son pavillon plongeant, la ligne reprend celle d'un coupé et l'aileron finit d'affirmer le caractère sportif de notre modèle. Pour compléter ce tableau, d'énormes jantes de 20 pouces viennent assoir notre GTX sur la route.
A l'occasion du Mondial de l'Auto 2022, j'ai été invité à découvrir la nouvelle solution de mobilité du groupe FCA Bank : Drivalia. Drivalia c'est quoi ? Si le nom Drivalia ne vous dit encore rien (et pour cause la marque a été lancée le 17 octobre), vous avez certainement entendu parler de Leasys Rent. Drivalia reprend le flambeau de la marque avec pour ambition de devenir un des principaux acteurs de la mobilité durable...