Ok, les pickups ne sont pas vraiment dans la tendance du moment : trop gros, trop lourds, trop polluants et pourtant… tellement indispensables !! Volkswagen revient avec la 3ème version de son Amarok et cette fois, VW s’est associé à […]
Audi Sport, anciennement quattro GmbH, fête son 40ème anniversaire en 2023. Une occasion de revenir sur une histoire riche en succès, tant sur les circuits, les spéciales de rallyes que sur les routes du monde entier. Une histoire de performance […]
Pour une fois, je commence cet article par la fin : cet ID.Buzz de Volkswagen, je le kiffe tellement (même si tout n'est pas parfait) !!! Pendant cet essai j'ai tout adoré : la voiture, le soleil, Lisbonne, les spots de surf, le skatepark !!! Ok maintenant que c'est dit, on peut parler de ce nouveau Combi 3.0, j'ai nommé le Volkswagen ID. Buzz ! ID. Combi : so lovely ! En 1950, après les heures sombres de la 2ème guerre mondiale, Volkswagen réalise un coup de maitre en présentant son Combi. Largement basé sur l'architecture de la géniale Coccinelle, le Combi devient rapidement une légende de l'automobile, convertissant les premiers adeptes des voyages : surfeurs, hippies et autres aventuriers avides de découvertes et de longs Roadtrips. Un espace couchage, une petite cuisine, simple, fiable et pas cher, le Combi invente un concept plus que jamais dans l'air du temps : la Van Life ! La grande tendance depuis la renaissance de la Fiat 500, c'est le Néo Rétro. On ne va pas citer de noms, mais ça peut vite devenir n'importe quoi... et bien ce néo Combi est tout bonnement magnifique. C'est simple, même pendant mes essais en supercars, on ne m'a jamais autant arrêté, pris en photos, interpellé dans la rue... qu'au volant de cet ID. Buzz ! Ok, nous avions bien choisi notre version d'essai avec sa superbe couleur orange bi-ton (en option). 1m94 de haut, 4m71 de long, 1m99 de large : cet ID.Buzz garde un gabarit contenu lui permettant de se faufiler dans les étroites ruelles de Lisbonne. Grâce à son empâtement long, ses minuscules porte-à-faux et son architecture électrique, l'espace à bord est gigantesque avec pas moins de 1121 l de coffre et même 2123 l sièges abaissés. Les 2 portes arrière sont coulissantes ce qui en fait un véhicule parfait pour les familles et autres adeptes de sports de glisse ! Basé sur la désormais bien connue, plateforme MEB, cet ID.Buzz est (pour une fois) très fidèle au concept car présenté au Salon de Détroit 2017. Un mot sur le nom, pourquoi ID. Buzz ? Pourquoi ne pas l'avoir nommé ID. Combi ?? Il s'en inspire tellement avec ses nombreux clins d'œil à son glorieux ancêtre (les 3 barrettes sur le montant C, le gros logo VW etc...)...
Au moment de changer de voiture, certains modèles reviennent toujours dans ma "short list" ... C'est le cas du BMW X1 ! En 2009, il a inventé le segment du SUV compact premium avec succès, puisque plus de 2,7 millions d'exemplaires ont été vendus depuis la première génération. Oui ce X1 plait à tout le monde et pourtant je n'ai jamais réussi franchir le pas de l'achat (n'ayant jamais trouvé la bonne occasion...)... Spacieux, pratique, sportif, valorisant, il a tout pour plaire. Ce n'est pas pour rien qu'il est le SUV compact le plus vendu au monde ! Mais depuis 2009, le marché de l'automobile a considérablement changé. La marque de Munich a-elle su maintenir "la flamme" pour cette toute nouvelle version 2022, la 3ème génération du BMW X1 ? Direction la magnifique région d'Annecy pour trouver la réponse, sous une météo froide et pluvieuse (oui ça a bien existé cet automne !). Un enjeu majeur On l'a compris, pour BMW le lancement d'un nouveau X1 est un évènement important. De gros investissements ont été fait dans l'usine de Regensburg en Allemagne. Cette usine de 9000 employés est ultra moderne. Pour la première fois, BMW teste ses nouveaux process de fabrication dans cette IFactory grâce à la technologie du Metaverse (j'aimerais bien voir à quoi ça ressemble concrètement). Autre rareté, sur la même chaîne de fabrication sont assemblés les 4 technologies du X1 (basé sur la même plateforme que la Série 1) : électrique, hybride, essence et diesel ...
Dans la vie "d'essayeur auto", certains essais sont plus attendus que d'autres. Et il ne s'agit pas forcément de supercars allemandes ou italiennes. Parfois, il peut juste s'agir d'une nouveauté électrique, qui plus est... chinoise ! Comme vous le savez, MG n'est plus une marque anglaise, elle a été rachetée par le groupe chinois SAIC Motor qui n'est pas moins que le 7ème groupe mondial et le 2ème constructeur mondial en matière de voiture électrique. Arrivée en France en 2020, MG est entrée sur le marché français avec certains des modèles hybrides et 100% électriques plutôt intéressants comme le Marvel et carrément très abordables comme la MG5 essayée avant l'été mais, ça restait malgré tout des niches sur le marché européen. Appliquée à développer leurs réseaux (très complets aujourd'hui) MG préparait en coulisses son arrivée sur LE coeur de cible du marché européen : les Compacts. Il leur fallait frapper un grand coup pour imposer leur marque comme une alternative très sérieuse aux constructeurs européens. Ce grand coup, j'ai pu l'essayer du côté de Saint Tropez. Son nom : MG4 et je vais vous expliquer pourquoi ce modèle va changer la donne ! L'importance d'une plateforme modulaire La MG4 est basée sur une toute nouvelle plateforme MSP entièrement dédiée aux modèles électriques et très polyvalente. Une plateforme particulièrement travaillée pour caser des batteries ultra fines dans son plancher (11 cm de haut grâce aux cellules placées à l'horizontal). Résultat : la possibilité d'avoir une voiture très basse, dans des mesures compactes et avec un empattement très long de 2m70 laissant augurer un grand espace de vie dans l'habitacle. Avec 4m29 de long, c'est une pure compacte. Mais une compacte large avec 1m84, ce qui donne une allure très "assise" sur la route, très sportive. Surtout avec ce capot ultra plongeant et les différents habillages "façon carbone" du plus bel effet comme la lame avant ou les bas de caisse. Un mot sur le dessin : si en photo je n'accrochais pas vraiment, une fois devant la voiture et dans la rue, le dessin est bien plus attractif et au final agréable à regarder. Ok, ce n'est pas un immense coup de coeur mais je peux dire que je la trouve harmonieusement dessinée. Sur la version Luxury de notre modèle d'essai, le double spoiler est du plus bel effet. C'est vraiment l'élément fort de son design et ça lui donne une vraie personnalité ! Attendez-vous à être surpris !
2021 a été une année historique pour Porsche. La prestigieuse marque Allemande a en effet franchi un cap significatif : celui des 300.000 voitures vendues. Présentée en 2019, le Taycan (la première Porsche électrique) est partie prenante de ce succès, avec un peu plus 41.000 exemplaires écoulés en 2021. Et la montée en puissance de la sportive électrique ne fait que commencer, avec l’arrivée de nouvelles déclinaisons. Après le lancement en 2021 de la Cross Turismo, la famille Taycan voit aujourd’hui l’arrivée de la version Sport Turismo. Le Taycan Sport Turismo se targue de conjuguer la polyvalence/praticité de la Cross Turismo aux qualités dynamiques de la berline. C’est en Sardaigne (l’île de beauté Italienne) que j’ai eu la chance d’essayer la Porsche Taycan Sport Turismo, en version Turbo et GTS. Mon essai du meilleur break électrique du marché ! Le plus beau des Taycan ! Si le Taycan Sport Turismo reprend la carrosserie break de la Cross Turismo, elle laisse de côté les attributs « baroudeurs » de la Cross Turismo, au profit d’une ligne plus pure, et encore plus dynamique. Disposant d’une sacrée présence, le Taycan Sport Turismo possède une silhouette particulièrement élancée (c’est d’autant plus remarquable qu’elle s’étire sur près de 5 mètres de long -4,96 m pour être précis-). La célèbre « flyline » Porsche (comprenez la ligne de toit fuyante) est évidemment de la partie. On est loin, très loin des breaks taillés à la serpe ! La version GTS dispose d’appendices aérodynamiques spécifiques, à l’image des jupes de caisse, siglées GTS.
Le Taycan et moi, c'est une longue histoire depuis le jour de sa présentation au Salon de Francfort 2017. J'ai eu la chance de le piloter sur circuit, de faire subir à ma nuque des "launch control" démoniaques, de le faire drifter et tout simplement de vivre plusieurs heures de bonheur à son volant... MAIS, moi qui adore me mettre dans des situations compliquées sur toutes les pistes du monde ^^ il manquait une chose au Taycan pour qu'il devienne LA voiture électrique idéale ! Vous en avez rêvé ? Porsche l'a fait ! Un Taycan baroudeur... fait pour voyager, pour les loisirs, pour arpenter les pistes délicates : ça existe désormais et c'est le nouveau Taycan Cross Turismo ! Une garde au sol rehaussée, des protections de carrosserie, un hayon avec grand coffre, des sièges rabattables et toute une gamme d'accessoires pour transporter son VTT ou bien pour ajouter un coffre de toit pour tous ses loisirs ? Le Cross Turismo peut faire tout ça désormais et même beaucoup plus ! Direction Le Touquet et la Baie de Somme pour "rencontrer" cette version "baroudeuse" du Taycan. Premiers kilomètres au volant et premières impressions : le Cross Turismo fait tourner les têtes ! Et pourtant, il évolue en toute discrétion et en silence dans les rues du Touquet. Il faut dire que, tout comme pour la Panamera Sport Turismo, je trouve la ligne de ce Cross Turismo encore plus réussie que le Taycan berline. C'est musclé, galbé, dynamique, viril et féminin à la fois... bref il est superbe...
Vous savez déjà tous, Porsche est ma marque de coeur. Aussi quand on aime, on ne compte pas : après avoir essayé le Taycan dans ses versions 4 roues motrices Turbo S, Turbo et 4S au Mans, il me restait à découvrir la version, censée être "l'entrée de gamme", j'ai nommé le Taycan Propulsion. Autant vous le dire tout de suite, ce Taycan est la version la moins chère de la berline électrique de Stuttgart, mais il n'est en aucun cas un Taycan au rabais, bien au contraire. Direction la belle région de Reims pour prendre en main ce Taycan Propulsion et répondre à la question (essentielle) : peut-on "drifter" en voiture électrique ? Mais avant de nous focaliser sur le véhicule un mot sur la "Porsche Expérience" offerte par Porsche France la veille de ces essais. Je découvre Reims pour la première fois, et la vue de ma chambre d'hôtel, face à la célèbre Cathédrale a fini de me convaincre : j'adore cette ville, l'architecture y est superbe et on se sent bien vraiment dans ses rues. Qui dit Reims, dit Champagne et grandes maisons de Champagne. Justement les Champagnes Louis Roederer sont partenaires de Porsche France depuis plusieurs années (lorsque vous achetez une Porsche neuve, une bouteille de Louis Roederer vous est offerte, pour rendre le moment encore plus inoubliable), l'occasion était trop belle de découvrir les caves et le siège historique de Louis Roederer situé dans le centre de Reims...
Tradition, performance, sportivité, innovation, luxe, excellence... Autant de mots déjà utilisés à chaque fois que j'ai eu la chance de m'installer au volant d'une Porsche. Mais si je ne devais en retenir qu'un : ce serait "émotion". Quelque soit le modèle : SUV, coupé, cabriolet, électrique... c'est toujours avec la même émotion que je pénètre dans l'habitacle d'une création de la marque de Stuttgart ! C'est un essai un peu particulier que je vous propose aujourd'hui, au volant de la nouvelle Porsche Panamera. Particulier parce que je suis exceptionnellement accompagné de ma moitié Estelle et parce que Porsche nous a offert une expérience hors du commun, dans un lieu où l'excellence est le maître mot : la Villa Odaya sur les hauteurs de Cannes. Depuis sa présentation en 2009, la Porsche Panamera a connu un beau succès avec plus de 260 000 exemplaires vendus. Après une deuxième génération présentée en 2016, Porsche met à jour sa berline sportive avec un restyling plus profond qu'il n'y parait. Dans le rôle principal de cette super production cannoise, j'ai choisi la Panamera dans sa carrosserie Sport Turismo équipée de la motorisation 4 E-Hybrid et dans la teinte folle nommée Améthyste. Cette couleur, mais cette couleur... Elle change d'aspect suivant la lumière extérieure. passant du noir, à l'aubergine, puis au bordeaux... À chaque heure de la journée on a l'impression de redécouvrir sa voiture !
Le Tour Auto et moi, c'est une longue histoire de rendez-vous manqués ! Il faut dire qu'habituellement la course se déroule au printemps période où je suis habituellement en road trip (souvent islandais ^^). Cette année, avec les événement que l'on connait, le Tour Auto a été décalé à début septembre. Aussi, quand BMW France m'a proposé de les rejoindre pour la première étape, tous les feux étaient au vert pour enfin vivre de l'intérieur ce mythe automobile. Au début des années 90, Peter Auto a relancé le légendaire Tour Auto sur les routes de France. Si à l'origine la course comprenait de nombreuses spéciales qui se déroulaient de nuit comme de jour, le tour auto "moderne" se déroule sur une semaine et comporte des spéciales en journée sur routes fermées (façon rallye) et des sessions courses sur circuit. Cette année, plus de 200 concurrents sont engagés dans 2 types de compétition : Le premier est une course de vitesse, c'est simple : le plus rapide en spéciales et sur circuits gagne.Le deuxième est une course de régularité bien connu des amateurs "d'anciennes" : il faut respecter une moyenne définie à l'avance... ...Rendez-vous le lendemain matin, 5h du matin pour le début des choses sérieuses. J'ai l'immense honneur de rouler dans la voiture ouvreuse N°0 aux côtés d'une légende vivante du rallye, du Dakar et de Pikes Peak, j'ai nommé Monsieur Ari Vatanen. Autant vous dire que je n'en mène pas large ce matin : je vais être son copilote (avec la responsabilité du road book) et son pilote (quand il voudra un peu se reposer), le tout entre Paris et Clermont-Ferrand, ville finale de cette première étape.
La famille Porsche et l'électricité, c'est une vieille histoire... Dès 1900, Lohner Porsche présentait la Vivus électrique à l'Exposition Universelle de Paris, un véhicule à propulsion 100% électrique ! 115 ans plus tard, en 2015, Porsche présentait le concept mission E au salon de Francfort. L'année dernière lors de la dernière édition de ce même salon, je découvrais la version définitive du Taycan. Quasi identique au concept, j'avais pu longuement l'observer car statiquement son design est déjà très impressionnant. Aussi j'étais plus qu'impatient de m'installer à son bord, pour parcourir les premiers kilomètres de cette Porsche moderne 100% électrique. Pour ce premier essai post-confinement, direction le Porsche Experience Center du Mans... Ma "2ème maison" comme j'aime l'appeler, il faut dire que je commence à bien connaitre les lieux après le stage de pilotage et les 24h du Mans passés dans ce très beau bâtiment.Les Porsche Taycan nous attendent tous bien alignés : Turbo, Turbo S et 4S, toute la gamme est réunie sur le parking. Après un (toujours) excellent déjeuner au PEC, direction la piste école de maison Blanche pour apprécier les capacités dynamiques de ce nouveau Taycan sur la piste du Porsche Experience Center du Mans...
Quel meilleur moyen de bien commencer l'année que de retrouver ma "marque de coeur" ! Celle qui est à l'origine de la création de Kambouis, celle qui m'a fait vivre mes premiers 24h du Mans de l'intérieur, celle qui m'a formé sur le mythique circuit Bugatti... Je parle bien évidemment de Porsche ! J'ai eu la chance d'étre convié à essayer sa gamme hybride sur un terrain difficile : les Alpes et le domaine des 3 vallées au coeur de l'hiver. Le but de ces essais, répondre à une question très simple : peut-on concilier écologie avec performances et plaisir de conduite ? Les invités de ce débat : Porsche Panamera Turbo S E-Hybrid et le nouveau Cayenne coupé E-Hybrid. La parole est à la Panamera pour débuter ces essais et elle dispose de solides arguments : V8 biturbo hybride, 680 ch et une autonomie en 100% électrique de 50 km.
Elle et moi, c'est une longue histoire ! J'en ai parcouru des kilomètres à ses côtés, exploré des châteaux gallois (hantés), affronté le "terrible" toboggan des Ardennes, serpenté dans les montagnes madrilènes ! Que pouvait-elle me réserver encore comme épreuve ? Comment lui montrer que je suis digne de sa noble lignée appelée à disparaitre ? Je parle de la souveraine de la gamme Audi Sport, l'unique, la sculpturale, la cantatrice : l'Audi R8 ! Et quelle meilleure façon de lui rendre hommage que d'essayer la version anniversaire, une série ultra limitée à 222 exemplaires, aussi exclusive que désirable : la R8 Decennium.La légende R8En 2007, Audi présentait sa première supercar : la R8 (en hommage au proto multiple vainqueur des 24h du Mans). Déjà ultra innovante avec sa structure en aluminium, son moteur était alors un V8 ! Rapidement, le mythique V10 (directement issu des cousins de Lamborghini) est venu couronné la noblesse de ce véhicule.
Fin 2018, j’avais pu prendre le volant de la nouvelle gamme Jeep Wrangler sur les routes des Cévènnes. Si j’avais pu évaluer les aptitudes routières des Wrangler, j'avais été assez frustré de ne pas avoir la possibilité de l’essayer "en conditions Jeep", c’est à dire en tout-terrain ! Le service presse Jeep France avait bien senti cette déception et préparait son plan machiavélique : « Ah tu veux des dévers, des pentes et de la boue … Et bien, on va t’en donner ! » ^^ Quelques mois plus tard, j’étais plus qu’heureux d’être convié à découvrir les fameux stages Jeep Academy, en plus sur le fabuleux terrain de Château de Lastours, domaine sur lequel j’ai déjà pu effectuer le stage de préparation au Trophée Roses des Sables. Direction l’Aude sous la pluie, pour tester ce Wrangler en conditions extrêmes et surtout pour beaucoup apprendre pendant ce stage Jeep Academy. Vous vous dites sans doute que j’exagère avec le terme extrême ? Et bien je peux vous affirmer que je n’avais jamais exploité un véhicule tout-terrain dans des conditions aussi délicates et sur des passages aussi compliqués !
Une invitation au Grand Prix de France F1 sur le circuit du Castellet, ça ne se refuse pas ! Quand en plus c'est la région Sud qui te convie et que tu es vauclusien de naissance : c'est que le devoir t'appelle ^^ Le sud : c'est mes racines, mon histoire, mes repères... Ok, aujourd'hui j'habite à Strasbourg (une belle alsacienne est passée par là ^^), mais j'ai toujours autant de plaisir à retrouver MA région, MA Provence, MON Sud ! Direction Marseille (ma ville étudiante) avec @estelle, pour retrouver le reste du groupe d'invités, dans le magnifique Hôtel Intercontinental, pour un déjeuner à base de produits de la mer. Le lieu a été superbement restauré et surplombe le Vieux Port. Pas le temps de flâner, il faut rejoindre Le Castellet pour la séance qualificative. Nous avons la chance de disposer d'un pass pour la F1 Line (une route réservée pour accéder rapidement au circuit Paul Ricard). Nous arrivons vite au circuit pour nous garer sur la piste du Driving Center (coucou Oreca), les voitures tournent déjà, c'est le début de la Q1. J'abandonne le reste du groupe, pour vite me positionner en haut de la butte qui surplombe la courbe de Signe et du double droite du Beausset.
20 ans quel bel âge ! Encore plus quand on est un mythe automobile comme l'Audi TT qui, depuis 3 générations, arbore sur nos routes son design si particulier et si reconnaissable ! Pour une fois, je ne serai pas le blogueur le plus éloigné du lieu des essais puisqu'ils se déroulent "à domicile" ^^ ! Rendez-vous est donné à Strasbourg pour découvrir les dernières nouveautés Audi Sport. Quoi de neuf ? Cette 3ème génération d'Audi TT se présente cette année avec un léger restylage (phares à leds, calandre 3D, boucliers...) mais surtout, une série spéciale limitée à 999 exemplaires (dont 50 pour la France), en hommage à l'anniversaire de sa sortie en 1998 : la TT 20 Years ! Pour la reconnaitre, en dehors des logos spécifiques 20 Years, cette série limitée n'est disponible qu'en 2 couleurs : gris Nano ou gris Flèche. Elle est équipée de jantes 5 branches de 19 pouces et d'étriers de freins spécifiques noirs siglés S.Des éléments de design rendent hommage à la première TT : une double sortie d'échappement inox et l'indispensable (et superbe) trappe à carburant en aluminium.
Les 24h du Mans sont comme un virus, une fois qu'on y a gouté, on est atteint à vie. Il n'existe aucun antidote... et c'est tant mieux ! Le week-end dernier, j'ai assisté à la 87ème édition des 24h du Mans intégré au Team BMW. Une édition un peu particulière pour le Team M Motorsport puisque la marque de Munich a décidé de se retirer de la catégorie GTE Pro. Autre particularité de cette manche du Mans : c'est la super finale du championnat du Monde d'Endurance 2018-2019.Je retrouve le Team BMW France dès le vendredi soir dans le superbe hospitality situé au niveau du virage du raccordement. En plus de l'espace de réception au rez de chaussée, une grande terrasse surplombe le circuit et permet d'avoir un point de vue panoramique sur toute la dernière partie du circuit Manceau.Un point sur les forces en présence : dans la catégorie reine des LMP1, Toyota est le seul grand constructeur engagé, aussi la victoire finale devrait se jouer entre leurs 2 voitures. La 8 (celle de Fernando Alonso, déjà vainqueur au Mans en 2018) jouant le titre mondial, ils devraient être plus sur la défensive que la 7 qui n'a jamais remporté les 24h. Les autres LMP1, notamment les Rebellion, font le spectacle sur 1 tour mais seront incapables de suivre le rythme des Japonais sur 24h.
Ce V12 Ferrari j'en ai souvent rêvé. C'est LE moteur emblématique de la marque au "Cavallino Rampante". Etre, avec Estelle, les premiers "blogueurs" à être invités par Ferrari pour un Road Trip est un immense bonheur mais également une énorme responsabilité. Plus de 70 ans d'histoire et de mythe automobile sont concentrés dans cette Ferrari, il convient de lui faire honneur.Direction Méribel, la superbe station des Alpes au volant de la sublime GT 2+2 italienne. Nous devons récupérer la voiture à la concession Ferrari Gauduel Sport de Lyon. A peine arrivé, je remarque la belle, immatriculée en Italie et qui n'attend que mon coeur ! Quelle beauté, quelle exclusivité, quel privilège ! Pour vous dire la vérité, je n'avais pas le détail technique de la GTC4 que j'allais pouvoir prendre en main. En arrivant, je pensais avoir la Lusso T, équipée du V8 de 610 ch. Je tourne autour de la belle italienne, je l'observe ... je ne vois pas de T sur le monogramme et pose la question au responsable clientèle : "non, c'est bien la V12, arrivée directement de Maranello !". Immense sourire aux lèvres (ce sera mon premier V12) !
Inutile de partir à l'autre bout de la planète pour découvrir des endroits extraordinaires. À moins de 2h de Biarritz, se situe le plus grand désert d'Europe. Un endroit rendu mythique par de nombreux films et shooting photos : Le Désert des Bardenas.Ok, nous avons la destination... Il nous faut la monture idéale pour découvrir ces paysages ! La dernière fois que Volvo nous a accompagné pour un Road Trip, c'était en Islande et c'était magique de parcourir l'île glacée avec leur SUV XC90. On ne change pas une équipe qui gagne et on reprend les mêmes acteurs pour ce nouveau Road Trip : Estelle, votre serviteur et notre nouvelle machine à voyager, le Volvo XC60, dans sa version R-Design AWD Diesel 235 ch Boite auto Geartronic 8 vitesses.Sur la route...Mais avant de rejoindre notre destination finale, une longue route nous attend jusqu'à notre première étape : Bidart sur la côte Basque. Les 800 km depuis Paris ne sont qu'une formalité : le confort est royal, bien enveloppé dans les moelleux sièges cuir chauffant avec vraiment le sentiment de voyager en première classe.Le lendemain, nous franchissons les Pyrénées espagnoles, direction Tudela. L'autoroute entre Saint-Jean-de-Luz et Pampelune est très sinueuse et le comportement routier de notre XC60 est imperturbable. Un mot sur le sentiment de sécurité procuré par ce XC60 : on se sent réellement comme dans un cocon, on parle souvent du feng shui japonais, le feng shui suédois atteint des sommets de bien-être. Par l'ergonomie, le choix des matériaux, la qualité des assemblages, la technologie embarquée... tout est réuni à bord pour que votre voyage se transforme en moment de sérénité et de bien-être.
Une fois n'est pas coutume, je ne vais pas commencer mon article en parlant de la voiture essayée !Non, je vais parler du lieu choisi pour ces essais. Quelle est la finalité d'une automobile ? : Se déplacer, voyager, visiter, prendre du plaisir au volant... Quand on peut combiner essais automobiles et découverte de pays et peuples "magiques", c'est encore mieux pour "évaluer" un nouveau modèle, non ? Pour ces essais, le choix des routes de la région d'Agadir était juste parfait : sable, pistes, cailloux, routes défoncées, autoroutes, montagnes ... Les pneumatiques de nos Q3 ont "gouté" à toutes les conditions possibles, sans compromis ! Quant au dépaysement des différents lieux visités, comme le petite village de Taghazout (j'y reviendrai) ou la Vallée du Paradis, c'était du très haut niveau. J'en a pris plein les yeux, avec toujours au rendez-vous le sens de l'accueil et la gentillesse du peuple marocain ! Mais revenons à nos moutons, avec la raison de ma présence au Maroc : la toute nouvelle nouvelle Audi Q3 !Dynamique dans le styleAprès 7 ans de succès, il était temps pour Audi de repenser son SUV. Si la précédente édition a été un carton, elle n'a pas vraiment réussi à m'attirer. Trop passe-partout, trop rond, pour tout dire, je trouvais même que ça faisait un peu voiture de retraités (ça c'est fait !) . Quand j'ai découvert ce nouveau Q3 au Mondial de l'Auto : ce fut une grosse claque ! La ligne est dynamique et limite agressive avec ses gros passages de roues. À l'intérieur le dessin est moderne, coloré et fun, bref j'adore ! J'étais assez impatient de poser mes mains sur ce volant, pour vérifier si le ramage est au niveau du plumage.
- « Hello Stéphane, ça te dirait de jouer avec le Boss ? » Whattt ?? … ok je gratte un peu de la guitare mais de là à jouer avec Bruce Springsteen, the Boss de Philadelphie, c’est peut être "un peu" trop gros pour moi !!! - « Mais non, le Boss de BMW, le 1er SUV dans sa catégorie : le X5, cette année c'est sa 4ème génération !!! » - Ahhhhh, ce boss là !!! Ok, là oui je suis prêt, encore plus si on me dit que c’est au Maroc que ces essais se dérouleront, dans la région de Marrakech entre le désert d’Agafay et les montagnes de l’Atlas. Ahhh Marrakech : son superbe aéroport, ses contrôles douaniers interminables, son décor façon Disneyland qui n'a aucun rapport avec le reste du pays, sa circulation "désorganisée"... La "Dream team" Kambouis / Les Enjoliveuses est dans la place (ne ratez pas notre concours en fin d'article), nous sommes prêts à bouffer du kilomètre et à partir à l'aventure. Nous prenons en main notre monture du jour, le X5 M50d (version la plus puissante au catalogue actuellement), direction le superbe désert d'Agafay.
La révolution électrique, j’en entends parler depuis longtemps mais je n’avais encore jamais eu l’occasion "d'essayer ce changement". Quand on pense véhicule électrique, on pense immédiatement Tesla ! Que l’on apprécie ou pas son ambassadeur Elon Musk (plutôt bavard sur les réseaux sociaux), il faut bien avouer que ce sont eux qui ont fait bouger les lignes et démontré que "l'électrique était possible !" Tesla m’a proposé de prendre en main pendant 3 jours son modèle haut de gamme : la Model S P100 D sur les routes d’Alsace. Autant dire que j'étais très curieux et excité de conduire enfin la belle californienne. Premier point : contrairement à la plupart des constructeurs qui se sentent obligés de faire des designs étranges à leurs modèles électriques, Tesla joue la carte du design sobre et de la beauté ! Avec un petit air d’Aston Martin, la Model S est élancée et élégante et annonce clairement sa sportivité. Ce n’est pas avec elle que vous vous ferez remarquer de façon ostentatoire, mais par contre c’est sûrement avec elle que vous "grillerez" tout ce qui existe à un feu rouge, mais on y reviendra..
J’ai toujours aimé la marque Seat, en raison de ses origines espagnoles (comme moi) et de la philosophie dynamique de ses modèles. Pour ces premiers essais je suis gâté : je vais pouvoir essayer toute la gamme sur 4 jours dans une destination que j’ai toujours voulu connaitre : la Norvège. Nous arrivons à l’aéroport de Trondheim, les voitures nous attendent alignées. Pour cette première journée je roulerai en Seat Ateca FR. La météo n’est pas vraiment au rendez-vous en cette fin juin : 10° et pluie quasi permanente, une bonne occasion pour tester la tenue de route du SUV ibérique sur les superbes routes norvégiennes.
Ah l’Islande et moi, vous savez que c’est une longue histoire d’amour. Oui je suis fou de ce pays, oui j’y suis allé 2 fois en 2 ans et oui certains amis m’appellent désormais “Stefanson” ^^. Au printemps dernier j’ai eu l’occasion de m’y rendre, avec Estelle, pour un nouveau Road Trip plutôt ambitieux. En effet il s’agissait de faire le tour de l’ile par la route numéro 1 en … 5 jours ! Pour réaliser ces grosses étapes (autour de 500 km par jour de routes et pistes), nous avons eu a l’aide “logistique” de Volvo France par l’intermédiaire de l’agence de location locale Thrifty . Il nous fallait une monture prête à affronter la glace, les chemins défoncés et les routes Islandaises et quelle monture : tout simplement le vaisseau amiral de la marque suédoise le XC90.
Quand on s’intéresse au monde des sports mécaniques, on connait forcément le nom ORECA. Depuis 40 ans ORECA, fondé par Hugues de Chaunac, conçoit, prépare, optimise des véhicules de compétition et enchaine les victoires sur tous les circuits de la planète. Rendez-vous tôt au Castellet (je passe devant les tribunes en plein montage pour le GP F1) pour découvrir le Driving Center. Nous sommes 3 "élèves" et nous allons avoir à disposition pour cette journée : 2 Abarth 124 Spider, 2 Porsche Cayman, et 2 pilotes instructeurs ! Tout est réuni pour passer un excellent moment et surtout bien progresser en pilotage.
Qui a dit qu’Audi ne savait pas faire de voitures fun à conduire ? Pas moi en tout cas, et surtout pas après avoir passé 2 jours avec la nouvelle Audi R8 V10 RWS. Arborant fièrement l’écusson Audi Sport sur sa calandre, c’est quoi une R8 RWS (pour Rear Wheel Series) ? C’est simple, vous prenez une R8, vous lui retirez son système quattro (et quelques 50 kg au passage) pour ne laisser que les roues arrière motrices et vous lancez une série de 999 exemplaires pour le plus grand plaisir des amateurs de pilotage.
Alors que le circuit Paul Ricard se refait une beauté hivernale avant une grosse saison 2018, il est temps de revenir sur les Pirelli P Zero Experience qui se sont déroulés sur le circuit du Castellet le mois dernier. Je suis plus qu'heureux de retrouver ce circuit (j'y ai vécu mon premier GP de F1) invité par Pirelli, une marque qui a marqué l'histoire de l'automobile, des sports mécaniques et mon histoire personnelle (j'ai eu une belle histoire avec une Alfa Romeo 147 équipée de P Zero). Rendez-vous donc aux aurores sur le circuit Paul Ricard pour ces P Zero Experience. L'évènement est réservé aux gentlemen driver pilotant des sportives premium. Les premières autos qui arrivent sur le circuit annoncent clairement la couleur : Porsche 911 GT3 RS, 918 Spyder, Jaguar, Audi R8, Jaguar F-Type, AMG, Lotus, Ferrari, BMW M3 ... et bien sûr Lamborghini (dont une tout récente Huracan Performante). Lamborghini est partenaire de cette édition et met à disposition une Huracan Performante et plusieurs Huracan pour des essais routiers et circuit. Vous vous souvenez de mon salon de Francfort ? Mon souhait de piloter une Lamborghini va enfin se réaliser.
Depuis la création de Kambouis, j'ai eu la chance de faire de très beaux essais. Audi a été l'un des premiers constructeurs à me faire confiance et leurs "expériences" ont toujours une saveur spéciale. Celle dont je vais vous parler, je m'en rappellerai certainement toute ma vie ! Essayer la gamme Audi sport c'est déjà génial, mais essayer le fleuron sportif de la marque d'Ingolstadt sur le plus beau circuit de la planète, c'est unique et inoubliable ! En arrivant devant l'entrée du circuit, la veille du rendez-vous, je suis carrément ému. Ce circuit je l'ai tellement observé pendant les grands prix, je l'ai tellement parcouru sur plusieurs générations de jeux vidéos. C'est toujours celui que je choisi en priorité quand je veux me faire une partie rapido : il est rythmé, difficile, ultra rapide , vallonné, difficile et c'est toujours un bonheur de piloter dessus "virtuellement". Alors me retrouver nez à nez avec ce fameux Raidillon (la vache, c'est vraiment raide vu du sommet), et voir des noms aussi mythiques que "La Source", "Les Combes", "Stavelot", "Blanchimont", ça fait quand même son petit effet.
La Kia Stinger et moi c'est une belle histoire ... Tout a commencé lors de sa présentation à la presse, j'ai été agréablement surpris par ses lignes et ses caractéristiques techniques, mais j'avoue qu'ensuite je l'ai vite oubliée. Quelques semaines plus tard, au détour des allées du salon de Francfort, je suis tombé nez à nez avec elle. On ne s'attend jamais à un coup de foudre mais là ... j'ai de suite senti qu'entre elle et moi, il se passait un truc, qu'une belle histoire allait s'écrire. Quelques jours plus tard, je reçois une invitation surprise pour la rencontrer à Majorque, je suis joie, il y aura donc bien un "elle et moi" ...
Pour une fois je ne vais pas vous faire tout un topo sur mon périple pour rejoindre ces essais vu que c'est ... chez moi dans la région de Strasbourg que vont se dérouler ces essais Abarth. Abarth, préparateur historique de la gamme sportive de Fiat est maintenant une marque à part entière (il n'y a même plus de logo Fiat sur les modèles). Rendez vous donc à la superbe brasserie des Haras (un de mes repères à Strasbourg) pour découvrir plus largement la marque (j'avais fait un rapide galop d'essais lors des essais Fiat 124 Spider à Vérone).
