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ESSAI Audi Q5 TFSI 2025 : une mise à jour attendue !

1 juillet 2025

Après quelques années de calme chez Audi, la marque aux anneaux revient en force avec une gamme qui se renouvelle depuis quelques mois. Après le Q6 e-tron, l’A6 e-tron et thermique ou encore l’A5, place au Q5 ! Le SUV de milieu de gamme est l’un des best-sellers de la marque à travers le monde avec plus de 2.7 millions de ventes. Un modèle important qui attendait sa mise à jour avec impatience et c’est sur les belles routes d’Occitanie que l’avons découvert. On vous y emmène le temps de quelques minutes !

 

 

Tout en douceur

 

L’Audi Q5 est le premier SUV basé sur la nouvelle plateforme PPC, partagée avec l’A5 et A6. Comme pour la précédente génération, nous avons le choix entre la carrosserie Sportback ou le SUV comme pour notre modèle d’essai. Celui-ci est d’ailleurs équipé de la finition S Line, la plus haute, au-dessus de la Design et Business Executive.

 

 

En termes de design, le Q5 reprend les nouveaux codes stylistiques de la marque avec des lignes plus douces et arrondies. On perd, à mon sens, un peu du caractère et de l’agressivité de la précédente génération, toutefois, ça n’empêchera pas de plaire aux clients. Surtout quand cela sert à fluidifier l’aéro afin de baisser les consommations. C’est également l’usage des passages d’air placés aux extrémités de la calandre Single Frame, qui s’agrandit sur cette nouvelle génération.

 

 

Les feux LED (matriciels en option) optent, eux aussi, pour un dessin en rondeur et affichent une signature lumineuse personnalisable. En effet, il sera possible de choisir entre 8 styles différents. Certes, c’est gadget, mais c’est toujours cool d’apporter une touche plus personnelle à son véhicule.

 

 

Notre Q5 était vêtu du « Black Pack« , passant tous les inserts, de base en gris alu, en noir laqué dans le but d’apporter un brin de sportivité. Sur la S Line, les contours de caisse peuvent être passés en couleur carrosserie afin d’apporter un look plus premium à l’ensemble, comme vous pouvez l’apercevoir ici.

 

 

Si notre véhicule était équipé de jantes de 20″, celles de base viennent en 18″. Il est aussi possible d’opter pour du 21″ asseyant davantage le Q5, au détriment d’un peu de confort !

 

 

À l’arrière, nous retrouvons un bandeau lumineux reliant les deux optiques qui, avec le Pack Tech Pro, non présent ici, incorporent la technologie OLED offrant, comme à l’avant, le choix de la signature lumineuse. Notre finition S Line dispose d’un bouclier plus travaillé laissant dépasser les deux échappements. Et ça, en 2025, c’est vraiment cool ! J’apprécie beaucoup le fait qu’Audi ait pris ce parti, car les fausses sorties d’échappement à base d’inserts chromés, ce n’est pas ce qu’il y a de plus esthétique.

 

 

Révolution

 

Mais là où le Q5 évolue le plus, c’est à bord. Si l’on commence à connaitre cette planche de bord, il faut dire que, par rapport à la précédente génération, c’est le jour et la nuit. On retrouve donc la double dalle de 11,9″ et 14,5″ équipée de la dernière version du MMI. Les menus du compteur numérique sont personnalisables et accompagnés d’un affichage tête haute. L’écran central, quant à lui, est fluide et globalement ergonomique. Pour les adeptes, Apple CarPlay et Android Auto sont bien évidemment présents en sans fil. Un 3è écran vient dans le pack optionnel Tech Plus. Destiné au passager avant, il lui permettra de s’occuper ou encore de gérer la navigation afin que le conducteur reste focus sur la route.

 

 

Si la majorité des intérieurs vendus sont sombres, Audi propose tout de même deux choix colorés pour les aficionados, comme moi, de ces intérieurs. En plus des selleries noires en tissu, cuir et micro fibre, on retrouve une beige et une brune. Cette dernière se marie parfaitement bien avec l’insert de planche de bord en bois et la très belle teinte extérieure Vert District. Un insert carbone s’ajoute à la proposition sur la S Line. Cela dit, ici, nous avions la sellerie S Line en micro fibre et cuir aux surpiqûres en losange ajoutant une touche de sportivité à l’habitacle.

 

 

Cette finition vient par ailleurs avec un volant 3 branches, siglé S, au dessin sportif. Dommage que les boutons de ce dernier soient aussi bruyants… Outre ce détail, la qualité d’assemblage est bonne. Les plastiques utilisés sont soignés, sauf pour ceux des bacs de porte, encore trop granuleux par rapport au reste.

 

 

Les 3 cm supplémentaires, face à l’ancienne génération, profitent à l’habitabilité arrière. L’espace aux jambes est généreux, tout comme la garde au toit, et ce, que ce soit sur le SUV ou Sportback. Mon mètre 84 passait sans problème et il me restait encore quelques cm. Les passagers profiteront d’une climatisation tri-zone, de 2 chargeurs USB-C 100 W ou encore d’une banquette chauffante, le tout proposé en option. La banquette est d’ailleurs divisée en 40/20/40 permettant de rabattre la partie centrale afin d’avoir accès au coffre ou de s’en servir en tant que trappe à ski.

 

 

Et parlons en du coffre. Sur les motorisations MHEV, il offre jusqu’à 520 L de chargement, et ce, banquette reculée au maximum. Car oui, étant coulissante, il sera possible de l’avancer pour grappiller quelques litres. Tout rabattu, on arrive à 1473 L. Toutefois, les versions PHEV, équipées de plus grandes batteries, voient leur volume impacté : 438 L et 1358 L banquette rabattue.

 

 

 

Sous le capot

 

Sur ce nouveau Q5, le choix des motorisations est vaste. On y retrouve :

– Un diesel micro hybridé pour les grands rouleurs, avec le 2.0 TDI de 204 ch, uniquement proposé en Quattro.

– Un 2.0 TFSI, essence donc, également micro hybridé de 204 ch proposé lui en traction et quattro.

 

 

– Deux versions hybrides rechargeables, toutes deux Quattro, reprenant la même base moteur, soit le 2.0 TFSI, mais développant cette fois-ci 299 ch ou 367 ch combinés. Elles embarquent une petite batterie de 20,7 kWh net offrant une autonomie en tout électrique d’environ 100 km pour les deux versions. Ce n’est pas aussi bien que l’A3 mais ça reste tout de même acceptable. Notez que la recharge se fera exclusivement en Type 2 et 11 kW maximum, pas de charge rapide ici.

– Et pour finir, la version la plus extrême, le SQ5 et son V6 essence de 3.0 micro hybridé sortant 367 ch. Ce dernier sera, lui aussi, exclusivement quattro.

 

 

Elles seront toutes couplées à une boite de vitesse automatique S tronic à 7 rapports, qui s’est montrée agréable et souple. Notez que sur les motorisations MHEV, un boost temporaire de 24 ch s’ajoute en cas de besoin lorsque l’on met pied dedans.

 

 

Pour ce qui est de la conso, notre version 2.0 TFSI affichait un 7.7 l/100 km de moyenne sur autoroute et un 8,9 l/100 km sur un trajet mixte avec un certain rythme et sans éco conduite. La micro hybridation 48 V se montrera plus utile en ville, que nous n’avons pas eu l’occasion de parcourir, que sur notre trajet. À voir ce que proposeront les versions PHEV qui risquent d’être plus intéressantes pour des trajets quotidiens ainsi qu’en ville grâce à leur hybridation plus poussée.

 

 

 

Sur la route

 

Le Q5 a beau être le SUV de milieu de gamme, cela ne l’empêche pas d’être super polyvalent. Notre modèle, équipé des jantes de 20″ et sans suspensions pneumatiques, offre un confort très correct, mais sans exceller. Certes, il absorbe bien les petits défauts, tout en tapant un peu plus sur les grosses déformations, mais, avec les suspensions pilotées, le confort serait accru. Cela dit, et j’insiste, sans ces dernières, il n’en devient pas désagréable pour autant. On sent qu’il est prêt à tailler la route et avaler les kilomètres. La position de conduite y est pour quelque chose puisque nous sommes installés bien droit et profitons même d’un repose genoux.

 

 

Si vous aimez conduire dynamiquement, vous serez content d’apprendre que la direction progressive vient de série. Cette fonction adapte le degré d’angle à mettre dans le volant pour tourner les roues en fonction de la vitesse, rendant alors la direction plus précise. Toutefois, je vous conseille de partir sur les trains roulant sport, car malgré 2 barres anti-rapprochement à l’avant, on sent qu’il est plus adepte de l’autoroute que des virages. Ceci s’explique par son poids, puisqu’il prend quelques kilos sur la balance. Notre modèle TFSI quattro totalisait 1970 kg, et ça peut monter jusqu’à 2245 kg pour la plus puissante version PHEV.

 

 

La micro-hybridation est discrète et douce, mais on la ressent tout de même un peu dans les pédales. La première partie de la course de la pédale d’accélérateur est très sensible et j’ai eu du mal à doser mon accélération. Cela dit, mon binôme sur cet essai a déjà eu l’occasion de conduire cette motorisation sur différents modèles et m’affirme qu’une fois habitué, cela ne pose pas problème. Vous vous ferez donc votre propre avis sur le sujet !

 

 

Sur autoroute, on profitera des très bonnes aides à la conduite avec un niveau 2 de conduite semi-autonome. En plus du régulateur adaptatif et du maintien dans la file (venant respectivement avec le Pack Tech et Tech Pro), nous avons la conduite prédictive qui ralentit le véhicule à l’approche d’un rond-point ou d’un croisement lorsque que le régulateur est enclenché.

 

 

Toutes les aides seront désactivables dans un menu, accessible par un raccourci situé sur la console centrale. Et le petit plus, c’est le bouton personnalisable du volant sur lequel on va pouvoir choisir de désactiver les alertes de survitesse en un clic. Bien pratique !

 

 

Pour finir

 

Ce nouveau Q5 débute à partir de 57 550 € dans sa finition Design. Comptez au minimum 67 950 € pour la S Line et notre modèle d’essai est affiché à environ 78 000 € optionné de cette manière : le pack Tech Plus à 2850 €, les jantes de 20″ à 1000 €, le Black Pack à 1100 €, la sellerie à 3 100 € et quelques autres options. Sans oublier le malus CO2 et poids qui, cumulé, sera entre 8 000 et 25 000 € en fonction des équipements pour les versions TDI et TFSI.

 

 

Après autant d’années, la mise à jour de ce Q5 était nécessaire. Le gap technologique, important, le replace au niveau de ses concurrents directs. Ni trop grand, ni trop petit, ce dernier permet de voyager confortablement en famille en avalant les kilomètres. Reste à voir si les clients vont apprécier ce nouveau design, plus doux et moins caractériel, mais ça, comme on dit, ce sont les goûts et les couleurs ^^

 

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Pedro Miguel Silva
Pedro, photographe de métier, je me suis par la suite lancé dans le monde du journalisme automobile. Aujourd’hui c’est avec grand plaisir que je rejoins la « famille » Kambouis pour vous partager l’actualité et la passion automobile ! Aujourd’hui, à l’âge de 25 ans, j’ai la chance de pouvoir essayer différents modèles et de partager ma passion auprès de toute une communauté !.

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