Découvrir la famille Fiat 500 sur les routes de Catalogne : 2 bonnes raisons de quitter la grisaille parisienne pour rejoindre le pays catalan français à Perpignan. Les Fiat 500 sont alignées rutilantes, les 500X sont présentes en nombre, une 500C cabriolet, une 500 « classique » et une 500L.
Le Team des testeurs est composé de blogueurs ( thelittleworldoffashion, dorisknowsfashion, holycamille, selimniederhoffer, initiateur, julia3716 ) et de journalistes.
Cette première étape doit nous amener près de Rosas par la côte. Je choisis une superbe 500X bronze mat, équipée du moteur essence Turbo de 140 CV (le même que l’Alfa-Romeo Mito) et surtout de la nouvelle boîte automatique à double embrayage. La prise en main est immédiate, le moteur répond bien présent dans les nombreux lacets entre Banyuls et Llança. La boîte automatique est rapide et permet d’être toujours dans le bon régime moteur. Je teste le mode manuel (un petit regret : les palettes au volant sont trop petites pour tomber parfaitement sous la main), la boîte est toujours aussi agréable et rapide. Si vous voulez une 500X, cette boîte double embrayage est vraiment un « must have »! J’ai également l’occasion de tester les différents modes de conduite : normal / sport / conditions glissantes. Si le mode normal est parfait en ville (commandes et moteur très souples), le mode sport est idéal pour se faire plaisir dans les lacets. Il permet d’augmenter le régime moteur et donne aux commandes (direction et accélérateur) une réponse plus directe. L’amortissement plutôt ferme contribue à l’excellente tenue de route. Malgré le centre de gravité assez haut (c’est un crossover), le véhicule vire bien à plat sans prendre de roulis excessif. La 500X est ainsi saine et très sécurisante.
Après quelques poses photos dans le vignoble et sur le port de Banyuls, il est temps de se restaurer dans un magnifique restaurant : Le Mas Lazuli. Fiat nous a réservé une véritable expérience lifestyle qui va bien au delà du simple essai automobile. Tout au long de ce road trip, nous aurons l’occasion de découvrir la cuisine raffinée de chefs d’exception dans des lieux au design tout aussi exceptionnel. Le Mas Lazuli préfigure ainsi 2 jours de régal pour notre palais et nos yeux.
Deuxième étape, nous allons rejoindre la capitale Catalane : Barcelona ! Certains décident de s’y rendre directement par l’autoroute à partir de Gerona pour « cruiser » dans la ville. Pour ma part, je continue par la côte jusqu’à la capitale de la Gambas : Palamós. J’y retrouve un de mes meilleurs amis, collectionneurs de motos et autos anciennes (j’y reviendrai dans un futur article). Je suis cette fois au volant d’une 500X à la superbe robe rouge, équipée du moteur diesel de 140 CV. C’est l’occasion pour moi également de pratiquer des chemins entre les oliviers en direction de Platja de Castell. C’est un Crossover, il se doit d’être à l’aise sur tous les terrains, ce qui est parfaitement le cas.
La nuit arrive, il est temps de rejoindre Barcelone par l’autoroute. La 500 X est une bonne routière, les 150 km sont avalés rapidement et confortablement avant de rejoindre les bouchons du centre de la capitale Catalane. Le nouvel ensemble GPS, situé au centre du tableau de bord, me guide parfaitement vers ma destination (super pratique aussi, la camera à l’arrière pour se garer tranquille). Je me dirige vers la colline de Montjuïc, bien connue pour son stade olympique, son superbe musée Miro et désormais, pour moi, son hôtel Miramar. C’est dans ce 5 étoiles que je vais passer la nuit dans une superbe (et immense) chambre. Le temps de se faire tout beau (ou d’essayer en tout cas …) direction La Torre d’Alta Mar située sur le port de Barcelone. Le dîner se déroulera tout en haut de cette tour qui offre une superbe vue sur la ville et son port. Nous aurons ainsi le droit à un sublime repas, dans une super ambiance, ponctué par l’anniversaire de Selim (et oui mon gars, impossible de ne pas célébrer cet « évènement »).
Le lendemain matin, retour en France. Je prends la route au volant d’une magnifique 500 C (cabriolet). Je décapote et pars à la recherche d’un lieu de shooting abrité du vent (il s’est levé en tempête dans la nuit). L’arrivée en France par l’autoroute est également synonyme d’énorme Tramontane et de grosses averses. La 500 C est équipée du bicylindre Twin air de 85 CV. Ce petit moteur est volontaire et les montées dans les tours s’accompagnent du son particulier du bicylindre : surprenant mais vraiment sympa à entendre. Mention spéciale pour la finition intérieure très « vintage ». Fiat a vraiment fait du bon boulot avec cette 500, garder l’esprit de la mythique 500 dans une voiture moderne à la bouille tellement craquante (vivement l’essai de l’Abarth dans un futur article !). Direction l’arrière pays vers le restaurant étoilé La Coopérative au domaine Riberach à Bélesta (enfin presque tous, certains étant tombés en panne d’essence ! mouahhahhha !!! mais je ne citerai pas de nom). Cet établissement est situé dans une ancienne coopérative viticole. Il est ainsi possible de voir les anciennes cuves et vestiges de l’ancienne vie de bâtiment. Ce fut une fin de séjour en apothéose, le chef Laurent Lemal nous a concocté un menu préparé à base des produits de la région : un régal pour les yeux, un repas d’exception tout simplement. Riberach, je reviendrai te voir, c’est certain.
Oups, l’horloge tourne, il est temps de filer à l’aéroport pour prendre notre avion, et pour le retour en Alsace (pour perdre 20°c en 24h !!). Il est temps de se séparer de nos fidèles 500, « adéu catalunya », tu sais déjà que je t’aime, mais je t’aime encore plus en Fiat 500.
Merci Fiat France pour cette expérience au sein de la 500 family.